Tu nous aimas, ô bon berger

1. Tu nous aimas, ô bon berger,
D’un amour sans mesure,
D’un amour qui veut supporter
L’épreuve la plus dure.
Dans un profond abaissement,
Tu t’offres à notre vue,
En peine, en souffrance, en tourment,
Pour la brebis perdue.

2. Chacun de nous est la brebis
Que ta parole appelle
Et désormais, tu nous conduis
Dans ta bonté fidèle.
Pour nous, tu souffris le trépas
Afin que chacun vive
En commençant dès ici-bas
A t’aimer, à te suivre.

Psalmodie morave 1766, rév. 1977

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